Alors que Monaco a été tenu dimanche à un tirage sans coup sûr par Strasbourg, malgré les longues périodes de domination et une vague de chances tardives qui ont gardé la foule Stade Louis-II – dont 2500 faisaient partie de l’initiative «Tous Au Stade» – au bord de leurs sièges.
Le match, qui fait partie du 30e tour de la Ligue 1, a terminé 0-0 sous les yeux vigilants de Son Altesse Serene Prince Albert II et du président du club Dmitry Rybolovlev. Bien que les deux parties aient exclu des buts pour hors-jeu, c’est Monaco qui se sentira plus frustré par le résultat.
Fraîchement sorti d’une victoire 3-0 sur Marseille et conduisant en haut de six victoires consécutives à domicile, l’équipe d’Adi Hütter est entrée dans le jeu débordant de confiance. Strasbourg, cependant, est arrivé sous forme rouge, après avoir récolté 27 points en 2025 seulement – plus que tout autre barre d’équipe PSG – et seulement seulement au classement des jambes de retour.
Hütter a gardé la foi avec la formule gagnante, nommant un côté inchangé du week-end précédent, sauf pour un interrupteur: Christian Mawissa, nouvellement 20 ans, a été mis en défense centrale aux côtés de Wilfried Singo.
Monaco a commencé vivement, l’énergie jeune de Mawissa se révélant au début. Son intervention en temps opportun a refusé à Emegha un ouvreur quasi-cercle à la 9e minute. Maghnes Akliouche a ensuite testé le gardien de Strasbourg Petrović avec un tir piquant dix minutes plus tard.
Bien que Monaco ait ombré la première mi-temps, les chances étaient difficiles à trouver. Le gardien de Strasbourg, Köhn, a été appelé à l’action pour nier une paire de croix taquineuses, et Monaco a eu le ballon dans le filet via Mika Biereth juste avant la pause, seulement pour Var pour le mettre en jeu en raison de Caio Henrique s’écartant marginalement hors-jeu.
La seconde moitié s’est poursuivie de la même manière – tense, physique et à court d’opportunités claires. Strasbourg a brièvement menacé par Barco, qui a tiré deux coups rapides, l’un qui navigue et l’autre manipulé en toute sécurité.
Puis est venu feu Monaco. Eliesse Ben Seghir s’est rapprochée deux fois, d’abord avec une tête puis une frappe à long terme. Le remplaçant Folarin Balogun a presque fait la différence avec une tête puissante que Petrović a bien fait pour faire basculer la barre. Le capitaine Denis Zakaria a eu deux chances d’or de la sceller dans les minutes mourantes, mais aucun des efforts a troublé les buteurs.
Avec juste un point à montrer pour leurs efforts, Monaco tournera désormais leur attention pour garder leur espoir de la Ligue des champions en vie. À cette occasion, ils n’avaient pas la touche finale, mais pas l’ambition.