Comme on pouvait s’y attendre, l’ancien gestionnaire immobilier de Prince Albert n’a pas réussi à obtenir l’annulation de son licenciement.
La Cour de cassation de Monaco a rejeté l’affaire intentée par Claude Palmero au motif qu’elle n’était pas compétente pour connaître des questions touchant à la personne du Prince Souverain.
Aucun recours n’est possible. Après avoir pris sa décision cruciale sur la compétence, la demande d’un million d’euros de M. Palmaro a également été abandonnée.
Le licenciement brutal de M. Palmero a eu lieu en même temps que deux autres départs très médiatisés, à la suite de la publication d’allégations de méfaits en série au sommet même de l’administration du Palais. Il avait été nommé par le prince Rainier.