Monaco se rend compte qu’il a encore besoin d’un bateau plus grand car les mâchoires ont 50 ans

Un demi-siècle après sa sortie, Jaws continue de captiver le public, et Monaco a célébré cette étape importante avec une projection de prévisualisation spéciale au Oceanographic Museum…

Le documentaire Jaws: Le secret d’un film culte a été montré hier, ravissant les fans de films qui se sont réunis pour redécouvrir le chef-d’œuvre de Steven Spielberg en 1975 qui a changé à jamais le genre thriller et les perceptions du public des requins.

Les membres du public ont partagé leurs souvenirs vifs de regarder Jaws pour la première fois, beaucoup le décrivant comme leur première expérience de film d’horreur. « J’avais trop peur », a déclaré un spectateur, tandis qu’un autre a rappelé: « La télévision française l’a diffusée juste avant les vacances d’été, alors aller en mer par la suite était terrifiante. » Au-delà de la peur, les participants ont salué la bande sonore emblématique du film, son casting solide et la cinématographie nostalgique des années 1970 qui définit son charme durable.

Le nouveau documentaire de Laurent Bouzerot explore les histoires en coulisses de la production turbulente, y compris des dysfonctionnements mécaniques de requin et des conditions météorologiques graves qui ont contesté l’équipage de Spielberg. Il examine comment le film a transformé le grand requin blanc en un symbole culturel de la terreur tout en suscitant la fascination publique et l’intérêt de la recherche maritime. Comme Wendy Benchley, épouse de l’auteur de Jaws, Peter Benchley, l’a refait, le film a peut-être inspiré la peur mais a également déclenché une vague de curiosité pour la vie océanique.

Jaws: Le secret d’un film culte sortira sur Disney Plus le 11 juillet. Pour les amateurs de cinéma de Monaco, cette projection du musée océanographique n’était pas seulement un hommage au blockbuster de Spielberg, mais aussi un rappel de l’impact durable du film, de la peur, de la fascination, de la fascination et du frisson intemporel de l’été sur l’écran argenté.

Photo d’Alex Steyn