Lors de la Conférence des Nations Unies sur l’océan à Nice, une initiative révolutionnaire a été lancée dans l’espace d’union et les parties prenantes maritimes au nom de l’océan Préservation…
L’espace pour une alliance océanique plus chaude, dirigée par l’agence nationale spatiale française CNES, vise à combler le fossé entre la technologie satellite et les efforts de conservation des océans, une connexion sous-utilisée longtemps malgré son vaste potentiel.
Tenue à l’Observatoire Nice, l’événement a souligné comment les technologies spatiales, telles que les données par satellite, peuvent fournir des informations critiques pour suivre la pollution, surveiller l’érosion côtière et cartographier les écosystèmes marins. L’Alliance encourage la collaboration entre les scientifiques, les gouvernements et les chefs de file de l’industrie à traduire ces données en outils opérationnels pour les personnes les plus touchées par le changement climatique, en particulier les petites nations insulaires.
Une déclaration d’intérêt a été signée par des organisations clés, notamment des agences spatiales de Monaco, de la France, des Maldives et de la Norvège, ainsi que de l’Office des Nations Unies pour les affaires spatiales extérieures. L’engagement de longue date de Monaco envers la conservation marine a fait de son implication un ajustement naturel, encore renforcé par sa coopération avec les partenaires français.
L’objectif est de transformer les informations par satellite en services concrets adaptés aux besoins régionaux, en combinant des données distantes avec des résultats sur le terrain et des modèles numériques. Ce nouveau cadre favorise le co-développement au niveau local, permettant des stratégies plus réactives et résilientes pour la protection des océans.
La Déclaration sera officiellement présentée à Peter Thompson, NON Special Envoy for the Ocean, le 13 juin. Alors que cette alliance ambitieuse accueille une dynamique, elle représente une nouvelle frontière prometteuse, où la technologie spatiale n’est pas exploitée pour l’exploration seule, mais au service de la protection de l’écosystème le plus vital et le plus vulaire de la Terre.
Photo d’Alexander Gray