Monaco a franchi une étape audacieuse vers la sauvegarde des données personnelles, cimentant sa place dans une poussée mondiale pour la confidentialité. Le jeudi 6 mars, il Gabriel Revel, ambassadeur de Monaco et représentant permanent du Conseil de l’Europe, a remis les documents de ratification de la Principalité pour une mise à jour pivot du seul traité international de protection des données contraignants du monde – connu sous le nom de Convention 108 – à Bjorn Berge, le vice-président général du Conseil.
Ce n’était pas une décision émouvante. Monaco est dans le jeu depuis 2009, date à laquelle il a signé la convention 108 et son protocole supplémentaire. La principalité a signé l’amendement, surnommé la convention 108+, le 18 octobre 2018, le jour de son ouverture pour les signatures. Maintenant, avec cette ratification, Monaco a mis ses lois à l’ère numérique, se synchronise avec un cadre modernisé construit pour lutter contre le monde technologique d’aujourd’hui.
La convention 108 n’est pas seulement un club européen – c’est une norme mondiale, ouverte à toute nation disposée à intensifier. La version «Plus» augmente les protections pour correspondre au rythme de l’innovation effréné, des réseaux sociaux tentaculaires aux systèmes étendus de l’IA. Pour Monaco, cette décision suit les talons de deux grandes victoires législatives: la loi n ° 1,566, adoptée le 3 décembre 2024, la ratification du protocole et la loi n ° 1,565, ont été déployées le même jour, révisant les règles locales de protection des données pour répondre aux demandes renforcées du traité.
Monaco est maintenant le 33e pays à verrouiller son support pour la convention 108+. Cinq autres ratifications sont nécessaires pour frapper le nombre magique – 38 – pour que le traité mis à jour se met en vigueur. Avec cette étape, la minuscule principauté ne suit pas seulement le rythme; Cela signifie au monde qu’il est sérieux de protéger la vie numérique de ses habitants.