«  Mission Polaire  » met à Lausanne, mettant en lumière la préservation polaire

Aquati Aquarium-Vivarium à Lausanne accueille maintenant «Mission Polaire», une exposition captivante mettant en lumière les merveilles fragiles des régions polaires, en partenariat avec le musée océanographique de Monaco. Début le samedi 8 mars 2025 et se déroulant jusqu’au 22 mars 2026, ce voyage immersif – a fait partie de l’année internationale de la conservation des glaciers – permet de faire la lumière sur les défis environnementaux urgents auxquels l’Arctique et l’Antarctique, de la fusion des glaciers aux biodiversité menaçants.

L’exposition se déroule dans trois zones convaincantes. Tout d’abord, les visiteurs entrent dans les bottes des explorateurs polaires légendaires comme Jean Malaurie et Jean-Baptiste Charcot, avec des artefacts et des histoires traçant leurs expéditions audacieuses et leurs contributions à la science. Ensuite, une plongeon glacée dans la vie inuit – se complique avec un igloo traditionnel – révèle leur résilience au milieu du changement climatique et de la modernité envahissante, inspirée du travail pionnier de la maladie. Enfin, les secrets des poteaux prennent vie, contrastant les étés dynamiques de l’Arctique avec les écosystèmes côtiers de l’Antarctique et soulignant comment les changements climatiques menacent des icônes comme les ours polaires et les pingouins, risquant des écosystèmes entiers.

Depuis ses débuts à Monaco en juin 2022, «Mission Polaire» a attiré plus de 1,7 million de visiteurs, un témoignage de son pouvoir d’éduquer et d’inspirer. Maintenant, avec le soutien de la Fondation Aquatis et des partenaires comme Ferring Pharmaceuticals et le Suisse Polar Institute, il arrive à Lausanne pour élargir sa portée. «Nous sommes fiers d’apporter cela à Aquatis», a déclaré le président de la Fondation, Davide Stadler. « C’est une chance de présenter la beauté et la fragilité des Polonais, suscitant des actions pour les protéger. » Robert Calcagno, chef de l’Institut océanographique de Monaco, a ajouté: «Le faire au-delà de Monaco à de nouveaux publics est essentiel pour amplifier l’appel pour préserver ces régions.»