Menaces de mort et vols fermement traités par la justice monégasque

Monaco appréhende des voleurs de scooters et les envoie en prison

Deux individus ayant des antécédents de toxicomanie et connus pour avoir déjà volé à l’étalage étaient accusés du vol de deux scooters en plein centre-ville.

Des caméras de surveillance ont capté les individus à bord des scooters volés dans les rues de Monaco. Les voleurs n’ont ensuite pas pu présenter les documents appropriés lorsqu’ils ont été arrêtés par la police.

Ils ont affirmé que les scooters ciblés n’étaient pas correctement sécurisés, mais le tribunal avait des preuves de la présence de pinces coupantes sur les lieux. Les voleurs avaient des antécédents de condamnations pour vol à l’étalage en France et faisaient l’objet d’une alerte d’Interpol.

La Cour a agi avec fermeté face aux voleurs qui ont volé les moyens de transport des employés de Monaco, condamnant chaque voleur à trois mois de prison.

Monaco démontre son engagement à lutter contre les activités criminelles, en particulier celles qui impactent la vie quotidienne de ses résidents.

Menaces de mort d’une femme sans limite à sa colère

Parfois, il y a un personnage épineux dans une communauté qui dépasse les bornes avec des bagarres avec les voisins et la police doit s’impliquer… et finit par devoir faire face à des problèmes à plusieurs reprises. Ce résident monégasque en particulier avait des antécédents de condamnations à la fois à Monaco et en France et avait été devant le tribunal pour faire face à des conséquences juridiques pour diverses infractions, notamment outrage, violence et conduite sous l’influence de l’alcool.

Un nouvel incident de quartier a donné lieu à une nouvelle convocation au Palais de Justice. Au lieu de comparaître, l’accusé a envoyé une lettre contenant des preuves de menaces graves et accusant le tribunal de harcèlement.

Les menaces proférées contre un voisin étaient facilement interprétées comme des menaces de violence, voire des menaces de mort. La femme a reconnu les faits mais a fait valoir que sa colère était le résultat d’un incident présumé au cours duquel son voisin l’aurait filmée sur son balcon.

Le voisin impliqué a affirmé qu’il lui avait poliment demandé de baisser le volume de la musique provenant de sa résidence, ce qui lui avait valu des insultes et des menaces de mort.

Malgré les tentatives précédentes visant à réprimer son comportement par le biais de diverses condamnations judiciaires, le procureur n’a eu d’autre choix que de proposer une sévère peine de prison d’un mois. Après délibération, la Cour a décidé de réduire la peine de cinq jours de prison.