Les conseillers juridiques de Monaco font pression pour une réforme bancaire pour stimuler les affaires

La Chambre des conseillers juridiques de Monaco a appelé à des réformes bancaires urgentes afin d’améliorer l’accès financier des entreprises et de protéger l’avantage économique de la Principauté. Dans un communiqué publié aujourd’hui, la Chambre a souligné comment les pratiques bancaires restrictives étouffent l’entrepreneuriat, des retards dans le dépôt de capital-actions aux refus pure et simple d’ouvrir des comptes, qui entravent la formation des entreprises et le travail des professionnels de la comptabilité vitale et juridique.

Pour aborder ces goulots d’étranglement, la chambre a proposé un plan à trois volets. Premièrement, cela suggère de permettre aux comptables réglementés, aux avocats et aux notaires de détenir en toute sécurité des actions en actions dans les comptes d’entiercement, rationalisant des configurations de l’entreprise. Deuxièmement, il exhorte les consignations Caisse des Dépôts et à établir une unité, en partenariat avec le Département du développement économique, à gérer temporairement les fonds pour les entreprises en attente de comptes. Troisièmement, il appelle les banques à justifier les refus, à traiter les applications dans les trois semaines et à se recommandant de soutenir la croissance économique de Monaco.

«Nous ne recherchons pas les conflits entre la prudence et le développement bancaires», a déclaré la Chambre, soulignant que l’accès fluide aux comptes est la clé de la compétitivité et de la préservation des actifs de Monaco. Rejetant une approche litigieuse, elle préconise des solutions collaboratives avec le gouvernement du prince et le secteur financier pour maintenir l’environnement réactif et adapté aux affaires de la Principalité.

Image: Chambre des conseils judiciaires du président de Monaco, Robert Boisbouvier,