Alors que l’Accord Pelagos célèbre son 25ème anniversaire, Monaco réaffirme son rôle de leader mondial en matière de conservation marine…
Cette initiative trilatérale entre Monaco, la France et l’Italie, créée en 1999, a joué un rôle central dans la sauvegarde des mammifères marins et de leurs habitats en Méditerranée. Avec ses réalisations mises en avant lors d’un atelier au Musée océanographique de Monaco, l’Accord illustre l’engagement de la Principauté en faveur de la protection des écosystèmes océaniques.
Au fil des années, l’Accord Pelagos a stimulé des efforts de conservation essentiels, notamment la création de zones protégées, une législation progressiste et le développement d’un réseau de près de 100 municipalités côtières travaillant en collaboration pour protéger les cétacés. Lors de l’événement anniversaire, deux partenariats importants ont été formalisés : l’un avec InfoRac pour améliorer le partage de données et l’autre avec la Commission baleinière internationale pour renforcer les stratégies mondiales de conservation.
Cet engagement s’aligne parfaitement sur l’agenda environnemental plus large de Monaco. Des initiatives telles que les expositions permanentes de l’Institut océanographique, l’attention portée par la Fondation Prince Albert II à la biodiversité et le rôle actif de Monaco aux Nations Unies soulignent la détermination de la nation à lutter contre le changement climatique et à préserver les écosystèmes marins. Plus tôt cette année, Monaco a démontré son leadership lors d’événements tels que la 19e session du Comité du patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO et l’attribution du label Or de l’EEE pour l’efficacité énergétique.
Alors que l’Accord Pelagos sera présenté à la 3e Conférence des Nations Unies sur les océans, Monaco continue de démontrer son approche proactive face aux défis environnementaux. L’Accord célèbre non seulement les succès passés, mais souligne également l’engagement durable de Monaco en faveur d’un avenir durable pour la Méditerranée et au-delà.
Image : Avec l’aimable autorisation de l’Institut de recherche Tethys