Dans une décision frappante, 341 parents des écoles de Monaco et autour de Monaco ont signé l’engagement « Enfance Sans Smartphone », promettant de garder les smartphones hors des mains de leurs enfants jusqu’à l’âge de 14 ans. La campagne, alimentée par des preuves croissantes de la tâche des appareils, est une tentative désespérée de protéger les enfants à partir d’une marée numérique qui remonte à leurs esprits, à des corps et à des vies.
Les données sont sombres. Les études peignent les smartphones comme une balle de démolition pour l’enfance: exposer les enfants à un contenu sexuel et offensant, recâbler leur cerveau et pivoter de l’anxiété et de la dépression – à 98% depuis 2004. Le sommeil est également une victime, avec 80% des adolescents collés aux écrans lorsqu’ils devraient se reposer. Près de la moitié des adolescents sont en ligne «presque constamment» et 23% montrent des signes de dépendance. Des filles aussi jeunes que 11 font subir une pression pour envoyer des photos nues, tandis que les hospitalisations de l’automutilation ont augmenté de 140% depuis 2010, avec 24% des filles britanniques de 17 ans touchées.
Physiquement, ce n’est pas mieux. Les douleurs au cou affligent 69% des enfants utilisant des smartphones, 81% montrant une tension vertébrale. Le risque d’obésité saute de 43% pour ceux sur les écrans cinq heures ou plus par jour – les enfants en moyenne neuf. La myopie est en augmentation, liée à l’éclat de dépistage et se concentre, avec 40% des difficultés à se concentrer. Socialement, les enfants se retirent – passant moins de temps avec des amis en personne, deux fois plus longs sur les écrans que l’extérieur et la perte du talent pour l’empathie et la connexion en face à face. Cyberbullying’s rampant, avec 84% en ligne, traquant les enfants même à la maison. La solitude a doublé depuis 2012, pire où les téléphones dominent.
Les bailleurs de fonds de l’engagement pointent un doigt sur des magnats de la Silicon Valley qui ont construit cette technologie mais gardez-les loin de leurs propres enfants. Pour les parents de Monaco, c’est personnel. L’une, une mère de deux enfants dans une école locale, a déclaré qu’elle avait signé après avoir regardé les notes de son enfant de 12 ans se glisser et l’humeur s’assombrir, le téléphone toujours en main. Un autre, un père près de Fontvieille, a rejoint lorsque la douleur au cou de son fils les a atterri dans le cabinet d’un médecin.
Ce n’est pas seulement un problème de Monaco; C’est un cri contre une crise mondiale. L’engagement vise à faire reculer une «épidémie de maladie mentale» en retardant l’accès aux smartphones, donnant aux enfants une chance de récupérer le temps de jeu, les liens familiaux et les obligations du monde réel. Avec 341 signatures et comptage, le mouvement est clair: dans cette petite principauté, les parents tracent une ligne dans le sable – une enfance sans écran à la fois.
Signez l’engagement ici.