Lundi 29 janvier, nous avons perdu quelqu’un que l’auteur considérait comme un ami fidèle à Monaco, Gerard Norton, âgé de 82 ans.
Certes, si vous avez fait partie de la communauté britannique de Monaco pendant plusieurs décennies, vous avez peut-être connu ou connu Gérard, certainement à l’époque où il travaillait chez Moores-Roland et en tant que membre actif de l’Institut des directeurs.
Particulièrement controversé dans ses opinions et parfois un peu décalé, il n’en était pas moins pour moi un ami sincère et profondément dévoué, remontant à notre première rencontre lors d’un cocktail NatWest au cours de l’été 1991.
Il n’avait guère de moyens typiquement monégasques ; pourtant il était aussi généreux qu’on pouvait l’être sans jamais rien demander en retour. Qu’il s’agisse d’aider quelqu’un financièrement « mince », d’apporter de la nourriture aux personnes âgées de Beausoleil, ou même de partager son petit appartement avec ceux qui avaient besoin d’un bref logement, il était là pour eux.
Il était également passé maître dans l’art de rassembler les gens. Beaucoup d’entre nous avec qui il s’est lié d’amitié ont été présentés par lui, y compris les co-directeurs de la société de l’auteur qui n’existerait pas sans que nous ayons connu individuellement Gérard.
Repose en paix, cher Gérard, et merci pour ton amitié éternelle.
Mark Mead Baillie
