Asvel Strike First en demi-finale de la demi-finale alors que l’équipe Roca se déroule

Villeurbanne a publié mardi soir une déclaration d’intention, démantèle Monaco 94–74 dans le match d’ouverture des demi-finales Betclic Elite. Firé et tactiquement vif, Asvel a pleinement profité d’une équipe Roca épuisée manquante, la star suspendue Mike James et du centre blessé Daniel Theis.

Les hôtes ont explosé des blocs avec un premier trimestre de 31-21, capitalisant sur les premières erreurs de Monaco, dont sept revirements en seulement neuf minutes. Pourtant, l’équipe Roca s’est brièvement ralliée, dirigée par Pet Cornelie (12 points, 5 rebonds), pour arracher une avance de 41–38 avant la mi-temps. Mais ce scintillement n’a pas duré.

Le seau battant le buzzer de Melvin Ajinça ​​a donné à Villeurbanne un avantage de 49–45 à la pause, et à partir de là, c’était un trafic à sens unique. La défense étouffante d’Asvel a obligé l’attaque de Monaco, tenant les finalistes de l’Euroléague à seulement 29 points en seconde période – une production inhabituellement faible pour un côté de leur calibre.

La frustration a bouillie pour Monaco, qui a accumulé des fautes techniques et antisports, tandis que l’entraîneur Vassilis Sporoulis a regardé son équipe s’effondrer. Le camée tardif de Terry Tarpey, destiné à ralentir le Théo Maledon, n’a ajouté qu’au chaos.

Le banc d’Asvel a fait le gros duvage, versant 51 points – 16 d’Andre Roberson et 15 de Paris Lee – tandis qu’un ratio d’assistance / tournage (19 à 9 ans) a gardé l’offensive. Monaco, quant à lui, avait l’air aux longues jambes et s’est effilochée mentalement après six matchs en douze jours et un drame en cours entourant James, dont le retour reste incertain.

Les parties se réunissent à nouveau jeudi dans les Décines pour le match 2, avec Monaco jouant déjà du rattrapage dans la série des plus de cinq.